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Le Périgord Noir

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Septembre 2009, nous voici dans le Périgord Noir, le paysage est magnifique... Riche en grottes ornant les différentes vallées, dont la plus connue est la grotte de Lascaux.

Les spécialités du pays: le gâteau de noix, le foie gras sous toutes ses formes, le tourain blanchi à l'ail, l'omelette aux truffes, l'huile de noix. La terre périgourdine est riche en châtaignes, fraises, et le diamant noir, mystérieux champignon appelé savamment melano-sporum.

Un site qui vous guidera : www.perigordnoir.com


Cliquez ici pour voir le diaporama de photos du Périgord  

               

Bricole dans le Périgord

 

LA ROQUE-GAGEAC

Ce magnifique village est niché au pied de ses hautes falaises, dans une boucle de la Dordogne.

La plus grande partie de la structure actuelle du village date de la guerre de Cent ans et des guerres de religion, avec ses impressionnants forts troglodytiques qui se visitent à pied.

Avec l'époque de la Renaissance, les demeures vont s'embellir, comme le Manoir de Tarde qui domine toujours le coeur du village.

La batellerie joue un rôle important et commercial avec les gabares (bateaux traditionnels à fond plat), la rivière est très poissonneuse.

A côté de l'église, à mi falaise et grâce à ce solarium naturel, s'épanouit un étonnant jardin exotique, avec sa luxuriante végétation subtropicale et méditerranéenne, presque à l'état sauvage : palmiers de toutes sortes, bougainvilliers, passiflores, mimosas, lauriers roses, bananiers, orangers, citronniers, bambous géants...

 

LES JARDINS SUSPENDUS DE MARQUEYSSAC

Le jardin le plus visité en Périgord, qui nous fait découvrir les plus beaux panoramas du Périgord. A chaque vue une heure et sa lumière : la matin pour Castelnaud et Beynac, l'après midi pour la Roque Gageac, le coucher de soleil sur Beynac et la vallée de la Dordogne, vues des terrasses du château.

Leur origine remonte à l'école de Le Nôtre. A la fin du XIXe siècle, Julien de Cerval, de retour d'Italie, se consacre à l'embellissement de Marqueyssac. Il fait planter les dizaines de milliers de buis qui ordonnent la nature et guident les promeneurs.

Pour accentuer la beauté pittoresque du parc, Julien de Cerval l'agrémente d'allées sinueuses, de belvédères, de rocailles, de cabanes en pierre sèche, de lieux de repos et de méditation.

En fin de parcours arrêtez vous un instant au salon thé glacier, qui vous propose une restauration légère et rafraîchissements.

Durée de la visite 1h30, Marqueyssac aux chandelles tous les jeudis soir de l'été.

Aller voir le site : www.marqueyssac.com vous y retrouver toutes les informations importantes.

LE BOURNAT

Avez vous déjà visité le passé ?

Le bournat vous fait vivre les émotions d'un village en 1900. Ici la vie n'a pas changé depuis plus d'un siècle et tout vous invite à la découverte : un métier oublié, la pierre des maisons anciennes, les manèges de bois... Un véritable voyage, de l'intimité des intérieurs d'autrefois aux savoir-faire du feuillardier, du meunier ou de la poterie.

Goûter le temps d'autrefois, il vous suffit de déjeuner sous un chêne centenaire ou de flâner le long des étagères en bois de la boutique pour retrouver le goût des bonnes choses : l'huile de noix du moulin, le pain doré à peine sorti du fournil, les produits du terroir périgourdin sélectionnés par le Bournat...

Aller voir le site : www.lebournat.fr

LA MAISON FORTE DE REIGNAC

Le château le plus étrange, le plus secret du périgord...

Infiniment plus grand que l'on peut le soupçonner vu de l'extérieur, la façade cache d'impressionnantes salles souterraines et aériennes, grande salle d'honneur, salle d'armes, salle à manger, salon cuisine, chambres, chapelle, cachot, oubliettes, caves.

Source d'un grand intérêt historique et jalousement fermé jusqu'en 2007 au public, vous serez les premiers à visiter ce site qui fut durant 50 ans exploité à des fins de recherches scientifiques et archéologiques.

Aller voir le site : www.maison-forte-reignac.com

CHATEAU DE CASTELNAUD

Musée de la guerre eu moyen âge, ouvert toute l'année.

C'est dans le contexte troublé de la croisade contre les Albigeois que Castelnaud apparaît dans l'histoire.
Le château est alors à la tête d'une seigneurie de moyenne importance; au nord, la Dordogne marque la frontière avec les terres des puissants barons de Beynac.
Le maître des lieux est alors Bernard de Casnac, ardent défenseur de la foi cathare et réputé pour sa cruauté. En 1214, le chef de la croisade albigeoise, Simon de Montfort, prend le château et y installe une garnison. Mais Casnac résiste et réussit à reprendre le château un an plus tard; il fait pendre toute la garnison de Montfort, avant d'être définitivement chassé lui-même par l'Archevèque de Bordeaux qui brûle le château.

La fin du XIIIe siècle inaugure pour Castelnaud une période de prospérité et de calme relatif. Le château s'impose comme l'une des principales puissances du Périgord. Les barons de Beynac sont à cette époque en conflit quasi permanent avec les seigneurs de Castelnaud. Sans cesse, les deux maisons rivales se disputent le contrôle de la région, entraînant derrière elles une partie de la noblesse Périgourdine divisée en deux camps.

En 1966, le château de Castelnaud est classé au titre des Monuments Historiques. Depuis cette date, il a fait l'objet de deux campagnes de restauration spectaculaires: entre 1974 et 1980 et de 1996 à 1998. Certaines parties effondrées ont été reconstruites, d'autres ont été seulement consolidées faute d'indications sur leur état d'origine.

Aller voir le site : www.castelnaud.com

LA ROQUE SAINT CHRISTOPHE

Fort & cité troglodytiques.

A mi-chemin entre les Eyzies et Montignac-Lascaux s'élève en à pic sur la Vézère la falaise de la Roque St Christophe. Remarquable par ses formes puissantes, son nombre d'habitants et son ancienneté d'occupation de l'homme, ce site constitue un cadre d'une rare et sauvage beauté. Ce véritable mur de calcaire long d'un kilomètre et haut de quatre-vingt mètres, sans cesse sapé par la rivière et le gel, s'est creusé d'une centaine d'abris sous-roche et de longues terrasses aériennes.

 

Ces cavités naturelles ont été occupées par l'homme à la Préhistoire puis ensuite modifiées pour devenir un fort et une cité Moyen Âge jusqu'au début de la Renaissance. La visite de la Roque St Christophe permet de se faire une idée du mode d'aménagement des habitations troglodytiques.

Aller voir le site : www.roque-st-christophe.com

DOMME

La bastide est encore ceinturée de remparts (MH) percées de trois portes : la porte Delbos qui signifie "du bois" en français (elle était située à proximité d'un bois où furent pendus les traîtres qui livrèrent Domme aux Anglais en 1346), la porte des Tours, l'une des plus belles du Périgord (cette porte est flanquée de deux grosses tours à bossage du XIIIe qui abritaient la garnison et pouvaient servir de prison comme en témoignent les énigmatiques graffitis laissés par des prisonniers Templiers enfermés ici entre 1307 et 1318, et la porte de la Combe dont les deux escaliers permettent d’accéder au chemin de ronde.
À l’intérieur de la bastide, subsistent de belles maisons anciennes de style roman et Renaissance : ogives, plein cintre, portes anciennes, fenêtre double Renaissance et figures sculptées. Maisons dites «le Castellet» du XVIIe (IMH), «le Tournoi» (IMH), «le Touzon» du XVIIIe (MH), l’ancien Hôtel de ville (façade XIIIe).
Sur la place de la Halle, située sur la partie haute de la ville, là où vivaient les notables, l’Hôtel du Gouverneur du XVe à façade XVIIe (IMH), aujourd’hui syndicat d'initiative, semble avoir été surélevée au  XVIe siècle, avec sa haute tour carrée.

En passant devant l'église et son clocher-mur, reconstruite en 1621, on accède au belvédère de la "Barre" de Domme, qui s'élève à 212 mètres au-dessus du niveau de la mer et à 150 mètres au-dessus de la rivière. De là, le panorama embrasse un cirque de plus de 40 kilomètres sur la vallée de la Dordogne.


Vue de Domme

SARLAT LA CANEDA

Son origine se perd dans les légendes. Elle existe au IXe siècle, faisant partie des six grandes abbayes du Périgord (Paunat, Belvès, Saint Front de Périgueux, Brantôme, Terrasson). L'abbaye carolingienne de Sarlat est la seule à avoir été épargnée par les Vikings, située à l'écart de la Dordogne et de ses affluents. Elle a su demeurer indépendante et se plaça en 1153 sous la protection directe du Saint-Siège à Rome. Elle fut reconstruite à l'époque romane entre 1125 et 1160. En 1318, elle fut le siège du nouvel évêché créé par le Pape Jean XXII. L'église abbatiale devint la cathédrale du diocèse de Sarlat. Les évêques, remplaçant les abbés, commencèrent sa transformation architecturale qui fut achevée seulement à la fin du XVIIe siècle.

A partir du XIVe siècle, évêques et consuls se partagèrent le pouvoir jusqu'à la Révolution. Devenue cité épiscopale, Sarlat joua un rôle prééminent lors de la guerre de Cent Ans.

 

Il est permis de penser que de nombreuses villes françaises ont possédé d'aussi curieuses et pittoresques ruelles, d'aussi beaux monuments, mais le modernisme a détruit progressivement ces trésors du passé, Sarlat a été miraculeusement sauvée grâce à la loi promulguée le 4 août 1962 dite Loi Malraux. Cette loi sur la restauration des secteurs sauvegardés fut appliquée pour la première fois à Sarlat. Le centre de la petite cité médiévale avec ses 65 monuments et immeubles protégés servit d'opération pilote pour la mise au point des financements et des critères de restauration.

Aller voir le site : www.sarlat-tourisme.com

LE CHATEAU DE MONTFORT

Château de Montfort est de 4 km à l'ouest de Carsac-Aillac (à l'est de Beynac et La Roque-Gageac)

Le château de Montfort se trouve littéralement sur un rebord rocheux surplombant la rivière et les falaises ci-dessous. À l'instar de Château Beynac, le château est mieux vu de la rivière elle-même, bien qu'il y ait une bonne vue sur la route en direction de Carsac. Montfort a eu une histoire mouvementée, et a subi beaucoup de changement, de reconstruction et de l'élargissement au cours des 800 années qui il a été ici. Le célèbre cathares, Bernard de Casnac, a vécu dans le château, et juré de «couper en morceaux tous les catholiques dans la région». Mais la vie n'a jamais été simple pour les cathares (voir ailleurs dans ce site) et Casnac a rapidement attiré l'attention de Simon de Montfort, qui a réussi à s'emparer du château et de supprimer Casnac. Il y a une légende populaire au château que la fille de Casnac a été brûlé à mort à Montfort, et que son fantôme hante encore le château.

VILLEFRANCHE EN PERIGORD

Villefranche du Périgord, la plus connue est une jolie Bastide du XIIIème siècle, Capitale du cèpe et de la Châtaigne classée Station Verte de Vacance et village fleuri

LA BASTIDE DE VILLEFRANCHE DU PERIGORD Aux confins du Périgord, du Quercy et du Haut Agenais, la bastide de Villefranche-du-Perigord, ordonnée par Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis, fut fondee par le senechal Guillaume de Barriols et a reçu sa charte de franchise en 1261. Après bien des vicissitudes, traversant les guerres puis les événements religieux, elle est arrivée telle que nous la connaissons à l'aube du 21ème siècle.

Aujourd'hui, la vie continue au milieu des monuments historiques. La place de la halle encore bordée d'arcades du XIIeme siècle côtoie l'église du XIXeme siècle construite sur les plans d'Abadie, architecte du Sacré Coeur de Montmartre.

Aller voir le site : www.tourisme.perigord-fr.com

LES JARDINS DU MANOIR D'EYRIGNAC

Les Jardins français du Manoir d'Eyrignac ont été transmis en héritage par les fils et les filles depuis 500 ans : 22 générations se sont succédées depuis la construction du premier castel ou repaire noble.

Le Manoir actuel fut reconstruit par Antoine de Costes de la Calprenède au XVIIème siècle sur les ruines de l'ancien repaire noble. Les premiers jardins ont été conçus au XVIIIème siècle, à l'initiative de Louis-Antoine Gabriel de la Calprenède (arrière petit fils d'Antoine): Jardins à la Française inspirés par ceux des villas d'Italie comme le goût de l'époque le voulait. Ils furent complètement remaniés au XIXème siècle pour suivre la nouvelle mode, et devinrent un parc à l'anglaise.

Ce jardin de verdure, niché au coeur du Périgord Noir, se décline dans toutes les teintes de vert : ifs, buis, charmes et cyprès sont les essences principales du jardin.

Ce sont les volumes des topiaires qui font toute l'intelligence d'Eyrignac : sculptures végétales, chambres de verdure, broderies de buis, parterre à la française... La diversité des formes semble ne pas avoir de limite, tout en restant en harmonie avec les lignes architecturales du Manoir et le domaine naturel préservé de 200 hectares qui entoure cet écrin.

Ces jardins mêlent l'équilibre classique et structuré des jardins français avec les
mouvements et la fantaisie de la lointaine Renaissance Italienne...

Aller voir le site : www.eyrignac.com vous y retrouver toutes les informations importantes.

CABANES DU BREUIL

Situées à mi-chemin entre Sarlat et les Eyzies, les Cabanes du Breuil, dont l'origine reste un mystère furent l'habitat rural des Bénédictins de Sarlat jusqu'au milieu du XVe. Elles devinrent ensuite, au XVIIIe et XIXe siècles des ateliers artisanaux. Depuis 1950, ce patrimoine est conservé au sein d'une ferme familiale.

Aller voir le site : www.cabanes-dubreuil.com

COLLONGES LA ROUGE

Est-il encore besoin de présenter ce rubis architectural enchâssé dans l’émeraude d’une campagne verdoyante, berceau naturel de l’Association des « Plus Beaux Villages de France ». Lieu de villégiature des notables de la Justice de la Vicomté de Turenne, Collonges voit s’élever de nobles logis,castels et autres bâtisses qui ravissent le visiteur d’aujourd’hui, remontant le temps à travers les ruelles qui ont conservé leur cachet d’antan. Une page d’Histoire vivante qui sait toujours séduire le visiteur qui découvre un savant équilibre entre l’histoire, la culture, l’architecture et la vie d’aujourd’hui.

Aller voir le site : www.ot-pays-de-collonges-la-rouge.fr

BELVES

Belvès en Périgord Noir, cité médiévale aux 7 clochers, domine la vallée de la Nauze en bordure de la forêt Bessède.
Village médiéval fortifié au 11éme Belvès est classé un des plus Beaux Villages de France et fait partie des Stations Vertes de Vacances. Découvrir les habitations troglodytiques, témoins de la vie au Moyen Âge, sa campagne riche en manoirs, ses maisons anciennes et cluzeaux, ses rues aux noms poétiques est un enchantement.

Aller voir le site : www.tourisme-belves.com

CHATEAU DE HAUTEFORT

Le Moyen Âge : l’ère des guerriers
Le premier propriétaire des lieux est Guy de Lastours aux environs de l’an mille. Gouffier de Lastours, un de ses descendants, est semble-t-il l’un des trente chevaliers qui entrèrent en 1099 dans Jérusalem aux côtés de Godefroy de Bouillon. Au 12ème siècle, par une alliance, la forteresse appartient à la famille de Born représentée par deux frères ennemis, Constantin et le célèbre troubadour Bertran de Born. La forteresse médiévale, qui n’est connue que par les textes, se composait alors d’un donjon et de plusieurs tours reliées entre elles par des remparts. Au 15ème siècle, le château passe à une branche de la famille de Gontaut, qui prend le nom et les armes de Hautefort.

Aller voir le site : www.chateau-hautefort.com

Les 16ème et 17ème siècles : l’âge d’or des Marquis de Hautefort

Changement d’époque et évolutions des modes, la forteresse se transforme progressivement en demeure de plaisance. Le château connaît sa période la plus fastueuse au 17ème siècle. François de Hautefort et son petit-fils Jacques-François travailleront successivement avec deux architectes étrangers au Périgord : un lorrain, Nicolas Rambourg, puis, un parisien Jacques Maigret. Le château abandonne alors progressivement ses fonctions défensives pour devenir un château «à la moderne », composé d’un corps de logis et de deux ailes en retour d’équerre, ponctuées de deux tours circulaires. Par son classicisme, Hautefort ressemble plus à un château de la Loire qu’aux châteaux forts de la région. Son imposante et majestueuse silhouette n’est que le reflet du rang et la puissance des seigneurs de Hautefort.

Les 18ème et 19ème siècles : le temps des incertitudes

Pendant la Révolution, la famille de Hautefort n’émigre pas. Le château, utilisé comme « prison pour suspects » de 1793 à 1795, est sauvé de toute destruction.
La famille demeure propriétaire des lieux jusqu’à la fin du 19ème siècle. La veuve du dernier propriétaire descendant de la famille de Hautefort, le comte Maxence de Damas, vend le château en 1890 à un riche industriel, Bertrand Artigues. Après son décès en 1908 sans postérité, le château connaît une période de déclin vers la vétusté, culminant en 1925 quand des marchands de bien, l’acquièrent, le dépouillent et le laissent à l’abandon, manquant de peu de le faire disparaître pour toujours.

Le 20ème siècle : renaissance et reconnaissance

En 1929, un coup de foudre va sauver Hautefort, avec l’arrivée du baron Henry de Bastard et de sa femme Simone. Fascinés par les lieux, ils redonnent vie à la demeure et à ses jardins. Seule après le décès de son époux en 1957, la Baronne termine les travaux et s’installe au château en 1965. Toutefois, elle assiste, impuissante, à l’incendie qui ravage le corps de logis du château dans la nuit du 30 au 31 août 1968.
Dès le lendemain, la baronne de Bastard décide de restaurer à nouveau son château. Emus par sa passion et sa détermination, tous se mobilisent pour l’aider et l’encourager, depuis les habitants du village jusqu’à des personnalités de l’époque, telles que Pierre de Lagarde ou André Malraux, autant de nouveaux passionnés, anonymes ou connus, qui ont participé à la sauvegarde d’un des plus prestigieux monuments du sud-ouest de la France.

LE CLOITRE DE CADOUIN

Cadouin est une abbaye cistercienne fondée en 1115, la onzième rattachée à l'ordre et dont l'activité monastique s'est arrêtée en 1790. Ici règne la rigueur monastique où l'on vit de son labeur et prie sans ostentation. Le cloître, reconstruit à la fin du XVème est au contraire d'une richesse architecturale étonnante, témoignant de la puissance retrouvée de l'abbaye. Le cloître est un chef d'oeuvre de l'art gothique flamboyant où l'on admire aussi les jeux d'ombre et de lumière. Cadouin est inscrit sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle.

 

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