Septembre 2010 nous voici à Savines le Lac au pied du lac de Serre Ponçon (qui fête ses 50 ans cette année) dans la région P.A.C.A. (Provence Alpes Côtes d’Azur). C’est parti pour 15 jours de découverte…
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SERRE PONCON |
Voici quelques panoramas du lac sous un soleil magnifique. Le barrage de serre ponçon est une digue à noyau d’argile étanche, premier en France à cette échelle, un volume de 14 millions de m3 ,![]() |
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![]() Le pont de Savines le Lac au soleil couchant. |
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Autour du lac des demoiselles coiffées. |
Sur Savines le lac, voici une belle randonnée, une promenade fraîcheur, le long du torrent de Barnafret, sur un sentier de découverte ombragé où l'on trouve les vestiges d'aqueduc et de citerne du système d'alimentation en eau d'une parie du vieux Savines. |
Dénivelée : 60 m Horaire : 1h15 Accès : dans Savines le lac, suivre la D 1094 en direction du lac vers Gap. A l'intersection avant le pont au dessus du lac, prendre la D 954 à gauche vers Barcelonnette jusqu'au parking 200 m plus loin, à droite de la route.
Un petit livre sympa pour de superbe balades en famille "Autour de Serre-Ponçon" aux éditions P'tit Crapahut dont est extrait la carte ci-contre, prix 8.90€ en 2010. |
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EMBRUN |
Ancienne métropole ecclésiastique, place forte déchue, Embrun tire surtout son attrait touristique de sa situation sur une terrasse escarpée, le Roc qui, dominant de 80 m la Durance, offre à l’automobiliste arrivant de Gap ou de Sisteron un coup d’œil attachant.
Un trésor conserve une importance collection d’ornements sacerdotaux, des peintures, des vases sacrées, le Missel d’Embrun. |
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SAINT VERAN |
La route de Saint Véran grimpe d’abord à travers les mélèzes de l’ubac, elle offre une jolie vue sur la vallée du Guil. Nichée à 2040 m, Saint-Véran est la commune la plus haute d’Europe, et l’un des plus beaux villages de France. Pour plus d'informations voir le site : http://www.saint-veran-queyras.com/ |
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ABBAYE DE BOSCODON |
Est un imposant édifice du XIIème siècles. Son architecture est proche de l’art cistercien. Fondée par des moines de l’ordre des Chalais, l’abbaye séduit par sa pureté, sa luminosité et une grande harmonie dans ses volumes. Restaurée, l’abbatiale est redevenue un lieu de culte et de prières. La communauté des Dominicains qui a œuvré au sauvetage de l’abbaye de Boscodon, poursuit la restauration de ce site par le cloître. |
Située à 1200 m d'altitude, sur le territoire de la commune de Crots, dans la splendide lumière des Hautes-Alpes, l'abbaye de Boscodon. L'abbaye est la propriété d'une association reconnue d'utilité publique ("Association des Amis de l'Abbaye de Boscodon") qui en assure la restauration et l'animation grâce, particulièrement, à une communauté résidente de religieux et de religieuses de divers ordres, s'élargissant à des laïcs de tous âges, membres de l'association. |
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MONT DAUPHIN |
Le site offre une vue panoramique sur près de 30 km, ce qui permettait de voir aisément arrivé l’ennemi. Mont-Dauphin, n’a jamais été attaqué, c’est une place forte construite de toutes pièces à partir de 1693, conçue pour accueillir des habitants civils et militaires. Le projet Vauban, qui souhaitait pouvoir y accueillir 2000 personnes, est inachevé. Cela confère au village aujourd’hui une atmosphère unique. |
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BRIANCON |
Briançon, « la plus haute ville d'Europe » (1 321 m), bénéficie d'une position stratégique et touristique remarquable. A l'intérieur de ses remparts, la vieille ville, ou ville haute, dite encore Briançon-Vauban, dominée par la citadelle et la statue de « La France » de Bourdelle, avec ses ruelles étroites, en forte pente, est restée telle qu'elle était sous Louis XIV. On ne peut pratiquement y circuler qu'à pied. En contrebas, hors des fortifications, s'étend la ville neuve, Ste-Catherine, et le centre de cure climatique de Briançon-Forville. Briançon, où les militaires eurent leur école de ski dès 1904, bénéficie également de la proximité de deux importantes stations de sports d'hiver : Serre-Chevalier et Montgenèvre. Une ville militaire. - Jadis bourg gaulois puis gallo-romain (Brigantium), capitale au Moyen Age de la « république des Escartons », de tout temps Briançon a été une ville militaire. Après sa destruction par un incendie en 1692, Louis XIV charge Vauban d'en refaire les fortifications. Le grand ingénieur l'entoure de ces remparts qui lui donnent figure de citadelle; une ceinture de forts complète le dispositif. Après Waterloo, une armée austro-sarde a envahi le Dauphiné et pris Grenoble, Gap, Embrun. Elle vient se heurter aux trois forteresses de Château-Queyras, Mont-Dauphin et Briançon, placées sous le commandement du général Eberlé. Celui-ci ne dispose, à Briançon, que de 70 canonniers et 500 fantassins. D'août à novembre 1815, les Alliés font le blocus de la ville qu'ils n'ont pu enlever de vive force, malgré des effectifs vingt fois supérieurs. Quand le traité de Paris met fin aux hostilités, la résistance de Briançon n'a pas fléchi, justifiant sa devise : « Petite ville, grand renom ». En juin 1940, le tir du fort du Janus cloue au sol l'attaque italienne. Le Chaberton, le plus dangereux des forts italiens, entré en action le 21 juin au matin, est pris à partie par des pièces de 280 installées en rase campagne; dès le 23, il est mis hors de combat. |
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LA VILLE HAUTE visite:2h Laisser la voiture sur l'esplanade du Champ de Mars, à l'extérieur des remparts et suivre l'itinéraire indiqué sur le plan. Passer sous la porte Pignerol, qui montre une inscription rappelant le siège de 1815, et suivre les remparts, à droite. Le cadre montagneux du bassin de Briançon commence à se révéler. A hauteur du chevet de l'église Notre-Dame, édifice construit par Vauban entre 1703 et 1718, une table d'orientation fixée sur le parapet permet de repérer les principaux sommets du Briançonnais. La vue est bien dégagée. De la place du Général-Eberlé, la rue Porte-Méane mène à la Grande-Rue. |
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Un site avec des informations : http://www.ot-briancon.fr/index.php |